La question de l’environnement est-elle
devenue un sujet ordinaire ?
Est-ce la méthode Coué
ou une fine analyse de ce qui se passe dans notre pays ?
Dans une chronique parue le 14 avril dans Les Echos, le fondateur de Génération Libre, Gaspard Koenig, appelle de ses vœux les individus à s’engager sur la voie de la sobriété devant les bouleversements environnementaux.
Il se réjouit du score très bas de Yannick Jadot au premier tour avec un argument qui ne manque pas d’intérêt… Son analyse consiste à dire que le destin du parti écologiste (Verts) est de disparaître parce que l’environnement est devenu un thème ordinaire pour les autres partis politiques. Ce qui signifierait que nous sommes précisément au moment où la société toute entière souhaite que l’on s’en empare. Et il considère que nous y sommes. Aussi, il plaide qu’un parti dont l’objet est « juste un aspect de notre vie en commun » n’est plus utile lorsque cet aspect est intégré par tous les autres. De fait, notre pays ne comporte pas de parti pour le droit à l’apprentissage de la lecture ou pour le droit d’être propriétaire : ces sujets là étant d’intérêt pour tout le monde, tous les partis s’en emparent. Les modalités changent, non la pertinence de l’objectif.
Revenons donc à cette chronique de G. Koenig. Là où son auteur a probablement raison, c’est que l’environnement devient un sujet « ordinaire« . En effet, une large fraction de la population attend clairement le monde politique sur la question, et tous les candidats ont « évoqué » le sujet. Tous les candidats ont mis en bonne place dans leurs programmes la lutte contre le réchauffement climatique et prônent la transition vers une économie décarbonée. Si les propositions des candidats sont inégales, comme l’a bien noté le Shift Project, leur discours est unanime.
Par contre, aucun ne lui a donné la place qu’il mérite, à savoir celle d’un sujet qui conditionne tout le reste. C’est par ailleurs un pari audacieux de proposer de continuer de produire plus dans un monde avec moins de ressources. Ce dernier point était plus ou moins implicite dans tous les programmes du 1er tour.
De fait, avoir plus de redistribution dans un monde qui produit « plus proprement » (donc moins) est une variante de la croissance verte, et a donc aussi peu de chances de se produire que cette dernière. L’auteur de la tribune a d’ailleurs bien vu cette difficulté. Mais, il ne compte pas sur le politique pour la résoudre. Il compte sur nous tous. M. Koenig pense que le règlement de cette crise climatique se fera d’en bas… et implicitement qu’il ne faut rien attendre des hommes politiques et/ou des pouvoirs publics.
Ce chantre du libéralisme nous appelle à revisiter la notion de liberté « qui ne doit pas être la possibilité d’étendre son pouvoir sur le monde, mais d’accroître son pouvoir sur soi, pour devenir aussi indépendant que possible des circonstances extérieures ».
Mais, pouvons-nous désirer la sobriété en devenant tous des stoïciens ? Ce qui est certain, c’est qu’en démocratie le pouvoir élu ne sera pas plus courageux que ses électeurs. Et, en plus, il l’est toujours avec 5 ans de retard, le temps d’un mandat. Seule une crise, ou une profonde modification de la hiérarchie des valeurs des électeurs, peut changer la donne. Koenig appelle à la seconde option…
Mais, bien évidemment, il ne dit rien sur la façon de s’y prendre pour faire changer les mentalités des individus. La ligne de pensée libérale de Gaspard Koenig fleure bon l’utopie. En définitive, les pragmatiques diront que seule une crise sévère et durable pourrait permettre de changer la donne.
E. Macron promet un second mandat
qui « sera écologique ou ne sera pas »
S’il est réélu, le président sortant a pris l’engagement d’un «renouvellement complet» de sa politique et il a érigé le second tour de l’élection présidentielle en «choix de civilisation».
Emmanuel Macron a consacré à l’écologie, samedi 16 avril, une large partie de son premier grand meeting de l’entre-deux-tours, en s’engageant notamment à nommer en cas de réélection un premier ministre « directement chargé de la planification écologique », afin d’aller « deux fois plus vite » pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il dit avoir « entendu » le message du premier tour, où Jean-Luc Mélenchon, chantre de la planification écologique, a failli créer la surprise et accéder au second tour. Le chef de l’Etat reprend donc le concept de planification, qu’il avait déjà dit apprécier cette semaine, et promis un premier ministre « directement chargé de la planification écologique », « appuyé par deux ministres forts ».
D’un côté, un ministre de la planification énergétique qui « aura pour mission de faire de la France la première grande nation à sortir du pétrole, du gaz et du charbon ».
De l’autre, un ministre chargé de la planification écologique territoriale qui, dans un « agenda de décentralisation massive », va œuvrer pour « changer nos moyens de se déplacer au quotidien », « réinvestir sur le fluvial et le fret ferroviaire », « accélérer la rénovation des logements, au moins 700.000 par an sur les cinq ans qui viennent », ou encore « agir pour la qualité de l’eau, de l’air, de l’alimentation » […]
Les promesses engagent ceux qui les croient !
Emmanuel Macron promet un virage vert pour son second mandat. Le président réélu s’est même engagé à mettre en place une « planification » écologique pour faire de la France « la première grande nation à sortir du gaz, du pétrole et du charbon. »
Après le « libérer, protéger » – mantra économique de 2017 – Emmanuel Macron assure vouloir placer son nouveau quinquennat sous le signe du « libérer, planifier ». Ce slogan relève de l’oxymore.
In fine, si sa stratégie économique est moins lisible qu’il y a cinq ans, elle place l’aspect libéralisation au second rang, laissant la place aux investissements et à l’Etat stratège. Difficile de deviner la politique qui sera menée lors du second mandat. Le nouveau chef de l’Etat annonce qu’il va développer une croissance verte et en même temps accroitre une indispensable sobriété énergétique. La France va concomitamment réduire son empreinte écologique … et se réindustrialiser.
Les faits diront si ce quinquennat nouveau sera celui d’un new deal écologique ou celui d’un simple « ripolinage vert » (green washing). Pour convaincre les français il faudra – a minima – que le droit à un environnement sain devienne un nouveau droit de l’Homme. Wait and see !
En définitive le seul réel vainqueur de l’élection présidentielle n’est-il pas le mouvement écologiste ? Ses analyses ont été reprises par tous les candidats à la présidentielle, … à l’exception de Marine Le Pen, qui reste climatosceptique.
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Pensée du jour : « Les hommes n’acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise. » Jean Monnet.
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Mutation inter-académique : confirmation des demandes
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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
L’environnement un sujet ordinaire
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
L’environnement un sujet ordinaire
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu.
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Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
L’environnement un sujet ordinaire
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
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L’environnement un sujet ordinaire
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité
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