Bilan du quinquennat Blanquer : cinq années perdues.
Tout ça… pour ça !
Le quinquennat de Jean-Michel Blanquer est un échec.
A défaut de réformer l’Education nationale, JMB l’a désagrégée.
Eléments à décharge : Il n’est pas un secret que la politique conduite durant le quinquennat Blanquer a rencontré quelques vents contraires. Crise des gilets jaunes, absence de hausse salariale pour les professeurs et trois années Covid-19. ; trois années scolaires abîmées par le Covid-19 ont, de confinement en bâillonnement des élèves, et de semaines d’alternance des cours en réduction de programmes. Dont acte !
A charge : La politique conduite depuis cinq ans à l’Éducation nationale aurait dû bénéficier de circonstances favorables : un bon connaisseur du ministère ; 5 années inédites de continuité et des convictions quant au renforcement du socle laïc fragilisé de l’école. Or, les trois dernières années scolaires ont été abîmées par une gestion singulière du Covid-19. Le confinement en bâillonnement des élèves et les semaines d’alternance des cours en réduction de programmes, ont conduit le Ministère à distribuer un baccalauréat de complaisance, presque sans épreuves. Par ailleurs, les réformes Blanquer ont été rejetées massivement par les enseignants. De fait, elles ont contribué à entretenir le déclin de l’école et le déclassement du baccalauréat. Le paradoxe est donc saisissant entre les intentions salvatrices proclamées et des résultats affligeants constatés. Enfin, notre système éducatif s’est progressivement déshumanisé, il est caporalisé, soviétisé. La désertion des enseignants est autant liée à ce problème qu’à l’insuffisance des moyens matériels et financiers.
A écouter les dirigeants qui ont été au pouvoir ces 20 dernières années, la société serait en partie responsable de la dérive éducative, car tous les Français veulent le baccalauréat pour leurs enfants ! Ce ne serait donc que justice de le donner à tous sans autre forme de procès, en piétinant les savoirs autrefois exigés des lauréats. Ce cynique constat pose la question de la pertinence de l’action publique menée et présente l’aveu de son impuissance.
Les réformes Blanquer ont toutes été étrillées par les syndicats.
Bilan, en cinq ans JMB a réussi à faire l’unanimité des personnels contre lui. Ce ministre a réussi à désagréger l’Education nationale et à saccager l’enseignement comme personne avant lui.
Pourtant, le locataire de la rue de Grenelle se sent conforté par chef de l’État, qui propose la continuation des réformes engagées au cours de son premier quinquennat. Le candidat-président répète son mantra sur la « liberté » des enseignants, ouvrant la voie entre les lignes à un renforcement de l’autonomie des établissements. Il faut « décloisonner l’école en donnant plus de moyens, plus de rémunération et plus de liberté pédagogique aux enseignants », défend E. Macron.
A cet égard, tous les syndicats sont favorables à l’autonomie des établissements, qui laisse des choix opérationnels par exemple sur la répartition des heures dans la réforme du lycée. Mais pour ça, il faut des moyens, parce que « choisir entre rien et rien ce n’est pas de l’autonomie ». … Or, ces moyens supplémentaires n’ont jamais obtenus au cours des cinq dernières années.
Comment les parents jugent l’école à la fin du quinquennat ?
Les Français estiment à la fois que l’école maternelle et élémentaire fonctionne bien et qu’elle « n’a pas significativement évolué depuis cinq ans ». Plus précisément, près de la moitié des personnes interrogées pensent que l’école maternelle et élémentaire « n’a pas significativement évolué depuis cinq ans », malgré les réformes menées. Un tiers juge « qu’elle s’est plutôt dégradée ».
Par ailleurs, ils sont bien plus réservés au niveau de l’évolution des collèges et des lycées. Ils en ont une image brouillée après cinq années de réformes menées tambour battant par le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer. La réforme du bac général, les couac de la plateforme Parcoursup, la chute continue de la France au classement PISA, les font douter de la pertinence des réformes engagées pour rendre plus performant le système éducatif français.
Enfin, l’écrasante majorité des parents appellent à une baisse des effectifs dans toutes les classes et à une sérieuse réforme des rythmes scolaires, en particulier dans les écoles maternelles et élémentaires.
Le ministre Blanquer publie son bilan sur le site du Ministère.
Et, devinez quoi ?… Il est globalement positif !
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Pensée du jour : Notre politique éducative mérite mieux que des décisions dictées depuis une tour d’ivoire.
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Mutation inter-académique : Confirmation des demandes
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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Bilan Blanquer
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Bilan Blanquer
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
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Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
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Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Bilan Blanquer
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité
Bilan Blanquer
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