Il faut redonner du sens à l’orientation.
Une orientation de la 4e au master.
L’orientation et l’élévation du niveau de qualification.
Dans un rapport thématique annuel, l’IGESR propose une étude sur « L’orientation de la 4e au master ». Cette étude revient longuement sur le poids de l’histoire de l’orientation et sur la spécificité du système français. Elle rappelle les difficultés de résoudre l’équation de la mise en œuvre d’une véritable démarche d’orientation choisie et d’un accompagnement personnalisé des jeunes avec la nécessité de répondre au besoin du marché de l’emploi et de l’évolution des métiers.
Ce rapport rappelle la vocation des diplômes tels que le BTS créée en 1959 engageant vers des « formations de cadres réclamés par les employeurs ». L’objectif général de l’ouverture vers une poursuite d’étude est l’élévation du niveau de qualification. Et nous ne pouvons qu’en partager l’engouement.
Il faut vraiment repenser notre rapport à l’enseignement.
Les problèmes d’une orientation satisfaisante demeurent malgré le déploiement d’un arsenal d’informations relayées par les différents acteurs du système éducatif. Des blocages persistent sur une hiérarchie établie dans la société entre les différentes séries. Cela nécessite de repenser notre rapport à l’enseignement où le diplôme ne serait plus perçu comme une fin en soi mais comme un marchepied vers l’activation de savoir-faire et de capacités acquises dans le monde du travail.
Les parcours de réussite existent dans nos cursus de formation.
De ce fait, l’enseignement professionnel pâtit encore d’une mésestimation qui conduit des élèves de 3e à poursuivre en cycle général sans grande conviction alors qu’ils auraient pu connaître un nouvel épanouissement dans la découverte d’une formation professionnelle. Et pourtant, les parcours de réussite existent bel et bien dans notre secteur et se multiplient. Des élèves qui reprennent confiance en eux par un CAP, confortent leurs compétences et leur méthodologie en bac pro, affinent leur formation et leur projet de carrière en BTS… nous en connaissons tous et nous en faisons parfois même témoigner directement en classe..
Cette idée de cheminement est intéressante à mettre en avant.
Il est compliqué à un élève de 14 ou 15 ans de se projeter sur le long terme. Il lui faut du concret, un lien plus étroit entre l’abstraction du diplôme et l’évolution des techniques professionnelles sur le terrain (dans l’entreprise). Il doit prendre conscience ainsi que cette nomenclature des diplômes n’est qu’un point de repère qui sert de référence commune, un phare dans la construction de son avenir professionnel. La véritable valeur du diplôme est ce qu’il en fait. C’est avant tout la fierté de sa maîtrise de savoir-faire et de son savoir-apprendre qu’il sera tenu de faire progresser tout au long de sa vie active.
Il est nécessaire de valoriser la voie professionnelle sous statut scolaire par…
une initiation progressive aux métiers dès l’entrée en 6e pour tous les élèves de collège. Il faut également réfléchir à de nouvelles mesures permettant de favoriser l’orientation vers cette voie des élèves de 3e qui en feraient la demande. C’est pourquoi le SNETAA-FO défend plus que jamais l’égal accès aux formations de tous les jeunes sur l’ensemble du territoire.
Bonne lecture : N’hésitez pas à faire connaître notre lettre quotidienne autour de vous.
Pensée du jour : « La formation est l’essence de tout succès. »
Retrouver nos précédents éditos :
Février 2022
Redonner du sens à l’orientation par une initiation aux métiers dès le collège. 
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Janvier 2022
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Les Princes qui nous gouvernent.
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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
sens à l’orientation
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sens à l’orientation
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
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Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sens à l’orientation
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
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Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité