Présidentielle 2022 : le lycée professionnel,
sujet surprise de campagne.
Le LP s’installe (enfin) dans les débats.
Souvent considérée comme secondaire dans les débats éducatifs, cette voie fait l’objet de nombreuses propositions à l’occasion de cette présidentielle, avec des philosophies différentes selon les candidats.
De mémoire d’enseignants, on n’avait jamais connu ça. Souvent ignoré voire méprisé, le lycée professionnel s’installe dans les débats de cette campagne présidentielle (peu nombreux, il est vrai) autour de l’éducation. Plusieurs candidats mettent en avant leurs propositions pour cette filière qui forme 650 000 élèves, du CAP au bac pro. Emmanuel Macron, en premier lieu.
Le Président-candidat a remis l’accent sur « l’une des grandes réformes » qu’il veut porter s’il est réélu, lors de son déplacement à Dijon lundi 28 mars, pendant lequel il a visité le lycée polyvalent des Marcs d’Or. Parmi ses mesures-phares : augmenter de 50 % les périodes de stages en entreprise et rémunérer les lycéens dans ce cadre. Il en est convaincu : « Il faut remettre les entreprises, les débouchés professionnels au cœur de leur projet et donc ouvrir des filières là où il y a des besoins et en fermer quand il n’y en a pas. »
Le candidat La République en marche (LRM) à sa réélection n’est pas le seul à mettre le lycée professionnel sur la table. Valérie Pécresse (Les Républicains, LR) s’inscrit dans la même lignée, avec l’objectif d’en confier la gestion aux régions, pour « rapprocher les lycées professionnels des entreprises ».
Pour J-L Mélenchon (La France insoumise, LFI), ministre délégué à l’enseignement professionnel de 2000 à 2002, il faut avant tout ouvrir de nouvelles filières professionnelles pour augmenter le niveau de qualification des jeunes et répondre aux « besoins de la bifurcation écologique ». Le candidat LFI propose une « garantie autonomie » de 1.063 euros par mois pour les lycéens pro à partir de 16 ans. Yannick Jadot (Europe-Ecologie-Les Verts) se place aussi sur le terrain de la valorisation de la voie professionnelle, « indispensable à la transition » écologique. […]
Eléments de réponse de Pascal Vivier :
A défaut d’une récente ferveur pour l’apprentissage, ce sont surtout d’anciens contrats de qualification qui ont fait mécaniquement grimper les chiffres. Par ailleurs, il s’agit essentiellement d’un apprentissage de jeunes issus de l’enseignement supérieur, qui terminent leurs parcours de fin d’études et enrichissent leur CV : master 2, école d’ingénieurs, licence pro et BTS. C’est-à-dire les super-techniciens de demain, ni les ouvriers ni les employés qualifiés dont tout le pays a et aura besoin ! On est loin de répondre à la mise en œuvre d’une politique globale de l’emploi et de réindustrialisation, dans tous les secteurs de l’économie et du social…
Une politique entière de formation à revoir.
Dans les métiers traditionnels (boucherie, ébénisterie, cordonnerie…), le vivier de l’apprentissage concerne le plus souvent les enfants d’artisans et de commerçants dans l’optique d’une transmission familiale. Dans les autres métiers, les entreprises embauchent moins facilement ces jeunes de 15 à 17 ans. En trois décennies, leur profil a considérablement changé : fin des redoublements, difficultés accrues à la sortie du collège, non-maîtrise du fameux « socle commun de connaissances » pour une majorité d’entre eux. A 15 ou 16 ans, les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas armés pour être déjà recrutés – pas assez mûrs, sans réseau et souvent trop en difficulté pour les entreprises. La fonction de l’apprentissage n’est pas d’être un essuie-tout absorbant le trop-plein de jeunes en déshérence scolaire et dont le système ne veut plus s’occuper malgré des solutions de relégation ; c’est déjà trop tard !
Toute la politique de la formation professionnelle est à revoir, de la formation initiale à la formation continue. Elle passe par un vrai débat sur le rôle de l’école, une refonte du collège et s’appuiera sur les lycées professionnels. Le collège unique, depuis la réforme Haby de 1975, a nivelé les objectifs autour d’un seul axe : la culture de l’abstraction de type universitaire, aseptisée. Quid des autres talents ? Ces pépites d’ingéniosité qui ne demandent qu’à être repérées, encouragées, à s’exprimer et à inventer notre vie de demain. Une mission sur laquelle le collège est à même de se positionner, en amont, pour rompre le cercle vicieux de l’échec depuis trop longtemps supporté, et s’engager autour d’actes forts : passer d’un « collège unique » à un « collège pour tous » en développant, pour tous, dès la 6e, la découverte de tous les métiers, avec une initiation à la micro-économie, celle qui fait le quotidien des commerçants, des artisans, des entreprises qui entourent le foyer familial ; sans attendre, remédier prioritairement aux difficultés de lecture, d’écriture, de calcul et de repérages temporel et géographique, selon des pédagogies innovantes pour assurer l’accès de tous aux fondements d’un « socle culturel commun » ; former, accompagner, dans un continuum long, à l’orientation pour qu’en fin de 3e, il n’y ait plus que des choix sans défaut ! Soit, passer du « socle de connaissances minimum » à une solide culture commune. Avec l’école, dans l’école, c’est possible !
Mettre un terme aux orientations par défaut.
Parallèlement, valoriser et développer l’enseignement professionnel constituent une priorité d’action pour donner une réelle première chance de formation plutôt qu’un recours à un labyrinthe de mesures de rattrapage. Le système scolaire exclut encore plus de 100 000 jeunes chaque année sans aucun diplôme. L’objectif des 80 % d’une classe d’âge au baccalauréat n’a été possible que grâce au baccalauréat professionnel, créé en 1985.
Aucun jeune ne doit quitter l’école sans au minimum un CAP, diplôme national, reconnu par les conventions collectives. Il devrait leur être proposé, au plus vite, d’entrer en lycées professionnels pour acquérir ce sésame en un an ouvrant sur une réelle insertion, un emploi qualifié recherché par toutes les entreprises, et par là même devenir des citoyens insérés. Une formation et un diplôme favorisent de fait de meilleurs salaires et un meilleur sentiment d’appartenance à la nation.
Le lycée professionnel n’a que trop souffert d’être le réceptacle de jeunes orientés par défaut comme sanction à leurs grandes difficultés… Faut-il imaginer Sisyphe heureux ? Oui, des résultats encourageants et un épanouissement personnel sont possibles s’il est accordé aux enfants, futurs salariés et citoyens, les moyens d’exploiter leurs compétences, de donner un sens à leur implication et de favoriser leurs appétences à créer les conditions de leur réussite. Les professeurs de lycée professionnel savent faire. Ils ont l’expérience, la connaissance de l’industrie, des technologies des métiers. Véritables professionnels de l’éducation et des métiers, ils sont les derniers hussards noirs de la République, qui doit les reconnaître ! L’enjeu est primordial : redonner du souffle à l’école qui donne sa chance à chacun pour « refaire nation », ce « vouloir vivre ensemble » cher à Ernest Renan qui fédère notre société dans toute sa diversité territoriale au sein de notre République. Bref, pour refaire France !
Pascal Vivier
Secrétaire Général du SNETAA-FO
1er syndicat dans les lycées professionnels
Inquiétudes : risque du retour d’une formation à l’ancienne.
Les détracteurs du programme du Président-candidat Macron affirment et répètent à l’envi qu’il veut mettre le pays en marche en développant l’apprentissage dès 12 ans ! Oui, vous avez bien lu : orienter des collégiens vers le monde de l’entreprise dès 12 ans !
Historique de l’instruction obligatoire en France :
1882 : 13 ans révolus
1936 : 14 ans révolus
1959 : 16 ans révolus
Infos ou infox ?
Information confirmée par RTL : En déplacement le 31 mars à Fouras en Charente-Maritime, E. Macron a échangé avec un restaurateur sur le thème de la formation et de l’orientation. « On a besoin de faire mieux connaître vos métiers et donc alternance et apprentissage et orientation dès la 5e pour faire connaitre ces métiers. » L’apprentissage dès la cinquième est une vieille lubie de penseurs conservateurs qui n’ont jamais accepté le collège commun, créé lors des années Giscard. La loi Haby du 11 juillet 1975 a en effet supprimé la distinction entre CES et CEG qui sont tous devenus des collèges. Avant cette date, à la sortie de l’école élémentaire, trois filières coexistaient :
– l’enseignement primaire supérieur, dispensé pendant quatre ans après le certificat d’études de la sixième à la troisième ;
– l’enseignement dispensé dans les lycées de la sixième à la terminale ;
– les centres d’apprentissage.
Comme dirait Aznavour “je vous parle d’un temps que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître”. Veut-on nous faire croire que c’était mieux avant ?
Le SNETAA-FO dénonce cette vision passéiste et populiste de la formation initiale. Quelle personne voudrait que ses enfants à 12 ans travaillent à mi temps dans une brasserie ou en hauteur dans le bâtiment ?
Pour le SNETAA-FO, l’apprentissage précoce est une injustice sociale, un non-sens pédagogique, et ne correspond à aucun besoin économique.
Bonne lecture : N’hésitez pas à faire connaître notre édito autour de vous.
Pensée du jour : « Le courage, … c’est de chercher la vérité et de la dire » : Jean Jaurès.
Vous souhaitez adhérer : Téléchargez le bulletin d’adhésion de l’année 2022.
Vous pouvez nous joindre : par mail, téléphone (79.91.42), WhatsApp, ou Facebook.
Retrouver nos précédents éditos :
Avril 2022
Présidentielle 2022 : le lycée professionnel, sujet surprise de campagne 🗳️
Salaires des enseignants : que coûtent les promesses des candidats ?
Les fonds affectés pour les lycées « détournés » par la Calédonie
Vie des idées : asymétrie des bobards, du baratin, des racontars …
Vie des idées : les données génétiques sont un enjeu de souveraineté
début des vacances d’avril
Détachement à l’AEFE : nouvelles modalités dès 2023
Mars 2022
du 23 au 31 mars 2022
Vie des idées : « Je pense … donc je fuis ? »
Mensuel du Snetaa-FO Nouvelle-Calédonie – Mars 2022
Vie des idées : les neurosciences sont-elles trop présentes à l’école ?
Présidentielle 2022 : le populisme éducatif au RDV de l’élection 🗳️
Emmanuel Macron organise des épreuves de rattrapage
Essor de l’apprentissage et baisse du chômage en France
The Shift Project : « On n’a pas de pétrole, mais on a des idées »
du 16 au 23 mars 2022
Congé de formation (cadre Etat) : Qui ? Quand ? Comment ?
La levée des mesures a-t-elle été trop étendue et trop précoce ?
Mouvement 2022 – en route pour l’intra ! Stagiaires et titulaires
M. le Président, je vous fais une lettre, que vous lirez peut-être
Les instances du SNETAA-FO arrêtées à l’issue du Congrès
Le SNETAA demande au Territoire d’assumer ses compétences
Congrès du SNETAA 2022 : Quels sont les combats à venir ?
M. le Président MAPOU, il faut investir dans la voie professionnelle
Congrès territorial du SNETAA-FO
du 09 au 16 mars 2022
Vie des idées : il faut avant tout créer de nouveaux diplômes
Et si l’autonomie calédonienne n’était qu’une fiction ?
Le jour où le prix du nickel est devenu vraiment fou
Quel bilan tirer de la réforme de la voie professionnelle ?
Port du masque en intérieur : c’est terminé !
Mutations inter 2022 – résultats et recours
du 02 au 09 mars 2022
Du rififi à la tête de la confédération Force Ouvrière
Vie des idées : les temps sont difficiles pour ceux qui prônent la paix
Vie des idées : comme le colibris : éduquons, agissons pour le climat
LPO Michel Rocard de Pouembout : côté pile, côté face
LP Augustin Ty de Touho : côté pile, côté face
Accession à la Hors-classe : Qui ? Quand ? Comment ?
ALP du collège de La Foa : côté pile, côté face
France compétences a accumulé une dette abyssale depuis 2019
Février 2022
Apprentissage : mythes et réalités
Résultats phase inter : ils seront publiés le 9 mars 2022
Audience de rentrée 2022 au Vice-rectorat, suite et fin
Présidentielle 2022 : la mixité scolaire, angle mort des programmes 🗳️
Accession à la classe exceptionnelle : Qui ? Quand ? Comment ?
Audience de rentrée 2022 au Vice-rectorat
Présidentielle 2022 : un quinquennat favorable à l’enseignement privé 🗳️
Quand les PLP sont les nouveaux hussards de la République
Donner du sens à l’orientation par l’initiation aux métiers dès le collège
Le gouvernement local devrait repenser le cadre de travail en LP
Enseignement pro : non à la territorialisation forcée des PLP
Casse de l’enseignement pro : vers une dérégulation des PFMP
Présidentielle 2022 : peut-on parler de politique sur le lieu de travail ? 🗳️
Vie des idées : faut-il sauver les ignorants ?
Le protocole sanitaire à l’école en NC,… modèle pour la métropole ?
fin des vacances d’été
Le rattrapage des pensions : c’est urgent !
3008 : une application d’aide aux victimes de cyberharcèlement
Protocole sanitaire allégé et réactualisé à quelques jours de la rentrée
du 02 au 09 février 2022
Droits et obligations : attentions aux écarts
Le SNETAA exige une véritable revalorisation du point d’indice
Missions du DDFPT : coordonner et impulser une dynamique de travail
Quelle place pour la visioconférence dans le dialogue social ?
AP n° 595 : Famille des métiers … et si on y regardait de plus près
Point presse rentrée scolaire en présence du variant Omicron
Etat d’urgence décrété la veille du point presse de rentrée
du 26 janvier au 02 février 2022
Bilan de la situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie au 1er février
Janvier 2022
du 19 au 26 janvier 2022
Démissions de profs en hausse, l’ÉN ne peut à répondre à ce malaise
du 12 au 19 janvier 2022
Le plan Santé au travail de la fonction publique en passe d’aboutir
du 05 au 12 janvier 2022
L’évolution du mot franglais « Badass » : du voyou à la femme qui …
Evènements sportifs majeurs en 2022 : attention destinations dangers
du 15 déc. 2021 au 5 janvier 2022
Travailler en présentiel et en distanciel … tel est votre devoir !
Le choix assumé « d’emmerder » les non-vaccinés
Les professeurs ne vont pas bien ! Une profession en crise
Vie des idées : Les Princes qui nous gouvernent.
Bonne et heureuse année 2022.
Décembre 2021
Vie des idées : d’une crise à l’autre
PPCR : est-il synonyme d’équité et de progrès ?
RH de proximité : un énième gadget ?
Les prochains combats du SNETAA-FO
Vie des idées : la santé mentale des élèves est en danger
SST : les effets de la dématérialisation
L’année 2021 se termine : vivement 2022
Passe sanitaire au travail : c’est non, trois fois non
La « ligne Vivier » est confirmée à la tête du SNETAA
Supplément de l’AP n° 594 : Bilan financier du SNETAA
Variant-omicron : il est déjà arrivé sur le Territoire
Maîtres auxiliaires : affectation rentrée 2022
Variant-omicron : prévoir et agir plutôt que de réagir
Premier séjour en Calédonie : préparer-vous !
Livret d’accueil 2022 du Vice-rectorat disponible
L’invisible diversité des structures d’enseignement pro
Transfert de compétences : 10 ans déjà
Audience de fin d’année 2021 au Vice-rectorat
Vie des idées : « Ce soir la France est plus belle …”
AP n° 594 : L’AP magazine n° 594 est disponible
Vie des idées : « référent », ce à quoi renvoie un signe
Faire vivre la laïcité dans tous les lycées professionnels
Plan de formation des enseignants pour l’année 2022
Délégation rectorale accordée pour la rentrée 2022
Liberté de circuler en NC : la politique du stop and go
Education nationale : le constat de la défiance des français
Obligations des agents publics : infractions à signaler au juge
Résultats du bac : ils seront consultables uniquement sur le net
du 24 novembre au 1er décembre 2022
Mutation inter-académique : Confirmation des demandes
Vous pouvez nous joindre par mail, téléphone (79.91.42), WhatsApp, ou Facebook.
Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
sujet surprise de campagne
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sujet surprise de campagne
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sujet surprise de campagne
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sujet surprise de campagne
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sujet surprise de campagne
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
sujet surprise de campagne
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité
sujet surprise de campagne
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité