Covid : les syndicats de fonctionnaires s’opposent
eux aussi au passe sanitaire au travail.
Le passe sanitaire dans les administrations :
c’est également NON,… trois fois NON !
Consultés ce mardi par Amélie de Montchalin, les syndicats d’agents de la fonction publique ont formulé à leur ministre le même avis que leurs pairs du privé la veille auprès de celle du Travail, Elisabeth Borne : pas favorable. Pas tant sur le principe que pour la complexité de l’exercice et le risque de mettre le feu sur les lieux de travail.
« La conclusion est sensiblement la même : il n’y a pas de consensus sur le déploiement du passe sanitaire dans les administrations à ce stade », confirme-t-on dans l’entourage de la ministre de la Fonction publique, alors que le gouvernement fait feu de tout bois pour accélérer la vaccination face au tsunami Omicron qui s’annonce.
Renforcer ce qui s’applique déjà
Les questions que cette mesure soulève sont les mêmes que celles qui ont surgi lundi de la bouche des partenaires sociaux du privé.
Qui contrôle ? Comment ? A quelle fréquence ? Quid des agents nomades ? Un réfractaire aura-t-il droit à 100 % de télétravail sachant que l’accord en vigueur dans la fonction publique porte sur 1 à 3 jours au volontariat ?
Tout cela est source de conflit, qui plus est dans des collectifs éprouvés par deux années de crise, où de plus en plus de tensions entre vaccinés et non-vaccinés se font jour.
La meilleure solution en appui de la vaccination reste de renforcer ce qui se pratique déjà : augmenter, voire rendre obligatoire le nombre de jours de travail à domicile, interdire les réunions en présentiel ou encore appliquer le passe sanitaire aux cantines, en cohérence avec l’obligation faite aux restaurants extérieurs.
L’Assurance-maladie au cœur du dispositif
Craignant également des conflits, les syndicats de la Fonction publique préconisent la même potion, en plus de la généralisation des masques FFP2 ou de matériels plus performants, d’aération notamment. Plus globalement, ils préféreraient un passe vaccinal à un passe sanitaire, dès lors qu’il serait voté par le Parlement en plaçant l’Assurance-maladie au cœur de l’incitation et du contrôle.
De tout cela, Amélie de Montchalin a pris bonne note et va maintenant se concerter avec Elisabeth Borne pour voir notamment ce qui n’aurait pas besoin de passer par une loi. Dans l’hypothèse où l’idée du passe sanitaire en entreprise est abandonnée, il est fort probable que les employeurs privés et publics soient contraints de renforcer la protection de leurs salariés.
Bonne lecture : N’hésitez pas à faire connaître notre lettre quotidienne autour de vous.
Pensée du jour : « Quand, dans un État, vous ne percevez le bruit d’aucun conflit, vous pouvez être sûr que la liberté n’y est plus..» Edouard Herriot.
Retrouver nos précédents éditos :
- La « ligne Vivier » est confirmée à la tête du SNETAA
- Supplément à l’AP n° 594 – Bilan financier du SNETAA
- Le variant Omicron est déjà arrivé sur le Territoire
- Affectation des maîtres auxiliaires pour la rentrée 2022
- Variant-omicron : prévoir et agir plutôt que de réagir
- Premier séjour en Calédonie : préparer-vous !
- Livret d’accueil 2022 du Vice-rectorat des disponible
- L’invisible diversité des structures d’enseignement pro
- Revue de presse du SNETAA du 8 au 15 décembre 2021
- Transfert de compétences : 10 ans déjà
- Bilan de l’audience avec le Vice-recteur
- ”Ce soir la France est plus belle …”
- L’AP magazine n° 594 est disponible
- Référent : ce à quoi renvoie un signe
- Revue de presse du SNETAA du 1er au 8 décembre 2021
- Faire vivre la laïcité dans tous les lycées professionnels
- Plan de formation des enseignants pour l’année 2022
- Délégation rectorale accordée pour la rentrée 2022
- Liberté de circuler en NC : la politique du stop and go
- Education nationale : le constat de la défiance des français
- Obligations des agents publics : infractions à signaler au juge
- Les résultats du bac seront consultables uniquement sur le net
- Revue de presse du SNETAA du 24 novembre au 1er décembre
- Confirmation des demandes de mutation inter-académique
Vous pouvez nous joindre par mail, téléphone (79.91.42), WhatsApp, ou Facebook.
Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
passe sanitaire au travail
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
passe sanitaire au travail
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
passe sanitaire au travail
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
passe sanitaire au travail
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité