En nous focalisant trop sur la crise sanitaire actuelle
nous risquons de ne pas voir arriver les autres crises
Vers des crises de natures diverses et d’intensités variables.
Les pays de l’OCDE ont connu une succession de crises : crise financière de 2000-2001 (explosion de la bulle sur les actions) ; crise des subprimes (explosion de la bulle immobilière, crise bancaire) ; crise du Covid en 2020-2021. Cela a conduit à un effort de réflexion sur la possibilité qu’apparaissent d’autres crises dans le futur.
Ces crises futures possibles sont de natures très diverses.
Une autre crise sanitaire, parce qu’on sait qu’il y aura d’autres pandémies virales causées par la trop grande proximité entre les hommes et les animaux ; une crise climatique (phénomènes climatiques extrêmes, migrations massives de population, sécheresse et crise alimentaire) ; une crise sociale, par exemple due à la perte de pouvoir d’achat avec la hausse des prix de l’énergie, à la multiplication…
Le traitement des symptômes n’est jamais suffisant.
Trop souvent, il ne s’agit que de traiter des symptômes et non les causes, profondes, structurelles, historiques, politiques, économiques ou sociales, de ces crises. Les crises ne sont alors pas pleinement résorbées. Bien vite, de nouvelles apparaissent.
N’existe-t-il pas à terme un risque de crise financière ?
En répondant à une crise économique ou sanitaire par la dépense publique, les États prennent le risque de créer une nouvelle crise… financière. Personne ne sait à ce jour quand et comment les états sortiront de la politique des taux d’intérêts négatifs et du “Quoi qu’il en coûte” (c’est à dire le robinet des crédits publics bien ouvert).
Allons-nous vers une crise sociale ou de modèle social ?
Chaque crise, aussi lointaine et étrangère soit la contrée qui l’a vu naître, nous renverra à une crise similaire que nous vivons actuellement tout près de nous : en Europe, dans notre région, au coin de notre rue.
Un gouffre économique demeure sinon s’accroît entre les différentes classes sociales, ethnies et genres. A nouveau, la France n’est pas sans reproche dans ce domaine comme en témoignent les observations d’ONG tout autant que celles d’institutions publiques nationales et internationales.
La crise sanitaire actuelle ne saurait occulter
la montée des populismes et la régression des libertés.
De Washington à Brasilia, en passant par Budapest et Moscou, nous vivons une régression mondiale des droits humains.
Près de cinq ans après l’apogée du mouvement de reconnaissance du mariage pour tous dans plusieurs États du globe, les LGBT ne sont plus à l’abri de législations restrictives, pas plus dans le Pays de la Liberté qu’au sein de l’Union européenne. La France n’est pas épargnée par la remise en question de ce droit. La montée du populisme tend à remettre sur le devant de la scène un conservatisme exacerbé au sein de l’Hexagone.
Plus loin de chez nous, les Tibétains en Chine ou les Rohingyas au Myanmar ne bénéficient pas de la protection des droits humains : droits civils et politiques, économiques, sociaux et culturels, prohibition de la torture, droits des travailleurs migrants, droits des enfants, des femmes, des personnes en situation de handicap, prohibition des discriminations raciales, prohibition des disparitions forcées. Cette liste des droits bafoués tous les jours n’est pas exhaustive.
Bonne lecture : N’hésitez pas à faire connaître notre lettre quotidienne autour de vous.
Pensée du jour : Une crise est un phénomène dont les effets produisent une dégradation brutale d’une situation. Son étendue temporelle peut aller d’une brève période à plusieurs années. Dans certains cas, elle peut être bénéfique et entraîner un changement important.
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- Confirmation des demandes de mutation inter-académique
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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
D’une crise à l’autre
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite.
D’une crise à l’autre
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
D’une crise à l’autre
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
D’une crise à l’autre
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
D’une crise à l’autre
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
à la limite de l’escroquerie
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité