Covid et santé mentale des jeunes.

Santé mentale des élèves et des étudiants :

 une «lutte de tous les jours» des psyEN.


Vagues de Covid et souffrance mentale des jeunes.

A mesure que les contaminations au Covid-19 repartent à la hausse, les pédopsychiatres voient un grand nombre de patients arriver dans leur service pour de graves problèmes psychologiques. Vague après vague, ce genre de situation se répète. On a l’impression qu’à chaque reprise de l’épidémie le phénomène s’amplifie. A l’annonce de l’arrivée de la déferlante Omicron les pédopsychiatres tirent la sonnette d’alarme.
Les psychologues de l’Education nationale ne savent plus comment prendre en charge les élèves qui sont de plus en plus en souffrance.

Les moyens des PsyEN restent notoirement suffisants.

Au moment où l’institution scolaire n’a jamais autant mis en avant la santé mentale de ses élèves, les moyens mis sur la table restent insuffisants pour bon nombre de psychologues scolaires. A cet égard, en lycée les adolescents sont d’autant plus touchés par les souffrances mentales qu’ils sont d’ordinaire plus fragiles et dans une phase de transition toujours complexe.
Dans les établissements, ce sont les conseillers d’orientation-psychologues, rebaptisés «PsyEN» pour «psychologues de l’Education nationale» depuis une réforme en 2018, tous titulaires d’un master de psychologie, qui sont devenus les référents sur ce sujet. Dans le dédale des salles de classe, ils organisent des permanences, accueillent, écoutent, conseillent, consolent les élèves, une ou plusieurs fois dans l’année, selon les besoins. Sans protocole thérapeutique figé. Les seules consignes étant «indicatives», pour mieux «s’adapter aux besoins de l’enfant».
A ce jour, on dénombre en moyenne un PsyEN pour environ 1 500 élèves. Une prise en charge de la santé mentale des élèves encore largement insuffisante. 

L’isolement des PsyEN au sein des établissements.

Les PsyEN se désolent de ne pas avoir assez d’appui dans les établissements. Chaque fois, les équipes pédagogiques leur répondent qu’elles n’ont pas le temps, que « l’école n’est pas le lieu pour faire le psy ».
Les PsyEN s’adaptent, se contorsionnent, courent entre les quatre collèges et lycées qu’ils gèrent, voient les élèves sur leur pause déjeuner. C’est de la débrouille. Une lutte de tous les jours pour trouver les créneaux, créer des rendez-vous d’urgence.
Conséquences inévitables : «On ne fait pas de la thérapie, mais de la réorientation. On passe notre temps à guider les lycéens vers leur famille ou d’autres structures. On se sent impuissants. On passe à côté de beaucoup de jeunes en souffrance». Il n’y a pas de réel accompagnement, les rendez-vous organisés ne sont que ponctuels. De fait, nous sommes aux balbutiements de la prise en charge de la santé mentale à l’école. 
En toile de fond, il y a toujours la même logique : l’individualisation du problème. L’institution propose à tort et à travers un suivi personnalisé, sans penser que la souffrance psychologique est structurelle, car liée à de nombreux facteurs. Dont notamment, la pression de la sélection, des notes, de la compétition, le contexte économique et social ou « l’écoanxiété. » (sentiment de détresse face au dérèglement des écosystèmes)

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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.

D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.

Santé mentale des élèves

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

Santé mentale des élèves

Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

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Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

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Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité

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