Réforme de la voie pro : M. le Pdt…

Réforme de la voie professionnelle :

Résultat d’images pour formation professionnelle image

tribune adressée au Pdt de la République

 

« Réforme de l’enseignement pro : ébriété idéologique et bordélisation »

Résultat d’images pour macron formation professionnelle image

Pascal Vivier (SNETAA) en appelle au Président de la République

Le dernier ministre délégué à l’enseignement professionnel (Jean-Luc Mélenchon, ministre délégué de l’Enseignement Professionnel de 2000 à 2002, ndlr) avait été reconnu de tous bords politiques et syndicaux comme un bon ministre pour son approche pratico-pratique et son autorité à faire plier une administration immuable quels que soient les ministres.
Avec la nomination de Carole Grandjean à l’enseignement et la formation professionnels, les acteurs du secteur s’attendaient au même choc des cultures au service des jeunes, des entreprises en mal de recrutements mais aussi des professeurs de lycée professionnel. Malheureusement l’histoire ne se répète pas quand bien même on espère parfois qu’elle vienne à bégayer.
La création de ce ministère par le Président de la République était un signe fort avec un large spectre d’intervention, un pied dans l’Éducation nationale, l’autre au ministère du Travail. Ce fut un réel espoir pour mettre fin à un labyrinthe de spécifications dans lequel seules quelques boites privées réussissent à trouver les failles pour faire leur beurre sur une jeunesse et une Ecole en déshérence. « Remettre de l’ordre », c’était oublier que l’expression vous pointe immédiatement dans le camp des « conservateurs crypto-fascistes » quand « les progressistes » ont créé, eux, sous la houlette de Muriel Pénicaud, alors ministre du travail et transfuge du PS, un machin, « France Compétences », aux 12 milliards de déficits. Une gabegie par une politique de gribouille !
Un ministère dédié à l’enseignement professionnel nécessitait une excellente connaissance du secteur, une réelle approche holistique de l’enseignement et de la formation professionnels, un diagnostique juste pour qu’enfin on apporte les réponses aux attentes nombreuses des familles, de leurs enfants, des entreprises et des professeurs. Cela obligeait à une réelle connaissance des entreprises, des jeunes orientés vers l’enseignement professionnel parce qu’ils sont souvent en échec au collège. Les connaître mais aussi les aimer ! En somme, ce ministère devait être porté par une forte personnalité qui entraine avec elle et génère un engouement plus fort que tous les freins inhérents à une réforme. Tout cela pour servir une cause commune.
Huit mois après la création de ce ministère, le constat est au mieux amer ; il est des ministres qui seraient de toute évidence plus utiles à la Nation si on leur avait confié le portefeuille du « ministère des clenches et des portes ouvertes »… L’impéritie ne semblerait pas si grave si l’Ecole n’avait pas besoin d’une prise de conscience de la nécessité de réformes et ce, plus encore pour les lycées professionnels. Et, au-delà, quand il s’agit de l’avenir de tout un pays qui souffre de choix politiques qui l’ont conduit à une désindustrialisation que tout le monde pleure.
Depuis la nomination de Carole Grandjean pour porter l’une des priorités du candidat Emmanuel Macron, elle a réussi ce qu’aucun autre ministre n’avait atteint en si peu de temps : une unanimité contre elle avec un zèle qui rendrait presque jaloux un Claude Allègre.
De provocation en provocation, avec un sens politique original, elle décide alors la création de quatre groupes de Travail pour l’aider à savoir quoi faire pour l’enseignement professionnel et pour la sortir du pétrin dans lequel les boulangers malheureux ne l’ont pas jetée.
Ces quatre groupes de travail ont rendu leurs copies en accouchant de 150 préconisations plus surprenantes les unes que les autres : parfois elles enfoncent des portes ouvertes, d’autres sont ahurissantes d’une méconnaissance de lois que le premier mandat d’Emmanuel Macron a bâties (comme la loi Pénicaud « liberté pour choisir son avenir professionnel »), d’autres encore qui agitent des chiffons rouges d’une grande dangerosité pour l’enseignement professionnel et ses personnels. Bien sûr, il lui fallut trouver des porteurs d’eau pour donner du sérieux avec quelques ambitieux embusqués qui, voulant s’adjoindre les faveurs de l’Elysée , se voient déjà en remplacement de la ministre dans l’éventualité d’un remaniement qu’on dit imminent. Ce sont des spécialistes par procuration : celui-là a un parent Professeur de lycée professionnel, cet autre qui, en mal de sensations, a osé se rendre dans un ou deux lycées professionnels, d’autres faux-caciques du système qui ont mis l’Ecole dans l’état où elle se trouve. Ce sont des gens au profil impressionnant quand bien même ils n’y connaissent rien. Pour dire simple, c’est « j’en sais rien » qui parle à « j’en sais pas plus » de « je sais pas quoi ». Souvent Inspecteurs généraux de l’Education, du Sport et de la Recherche, ils savent mieux que les premiers concernés ce qui est juste et bon pour les autres. Des personnalités qui ont la capacité de jargonner au kilomètre. En lisant les 150 propositions, il est des moments qui nous font regretter les temps où l’industrie française produisait encore du paracétamol : la migraine est assurée !
S’il ne s’agissait pas de l’avenir des enfants des gens qui se lèvent tôt, des enfants des gilets jaunes, des enfants d’hommes et de femmes de ménage, des enfants des artisans et commerçants, des enfants qui n’ont pour patrimoine que l’École de la République alors on s’en émouvrait peu. La France manque pourtant cruellement de professionnels hautement qualifiés, nécessaires à notre quotidien ; on a même dit qu’ils étaient « essentiels » : ces métiers qui se comprennent souvent en un mot : boulanger, charcutier, cuisinier, soudeur, électricien, serveur, logisticien, comptable, secrétaire, plombier, vigile, maçon, mécanicien… Tous ces « métiers en tension » pour lesquels le premier employeur de France – l’artisanat et le commerce – peine à recruter.
Sous prétexte de « valoriser l’enseignement professionnel », ces palabres de technocrates avilissent les urgentes nécessités pour le pays : la place de l’Ecole dans notre pays, ce qu’elle doit transmettre, avec quelle culture minimale qui assure du liant entre chaque citoyen (le fameux « vivre ensemble » dont on nous serine les oreilles sans s’en donner les moyens). De quel collège voulons-nous, quels lycées, quelles qualifications pour quels métiers de demain quand on sait que d’ici 2035, 80 % des métiers n’existent pas encore aujourd’hui. De ces questions qui devraient être au cœur des débats, peu leur chaut. Les préconisations font fi des réalités du pays ancré dans ses régions, sa culture, ses savoir-faire très français et des Français eux-mêmes. On laissera donc encore au bord du chemin toute une population de braves gens se sentant toujours plus niés, relégués, déclassés. On continuera l’orientation des enfants par l’échec à la sortie du collège car, les métiers, « c’est sale et ça sent mauvais ». Pourtant on parlait jadis d’une « aristocratie ouvrière », essentielle au pays, travailleurs fiers du travail bien fait. Se donner un métier, c’était une ambition quand tout est fait actuellement pour surtout ne pas s’y destiner. On manque depuis de tant d’artisans pour réparer nos fuites d’eau, nos pannes d’électricité ou de personnes pour s’occuper au quotidien de nos anciens qu’on relègue loin, très loin… de tout.
Si l’enseignement professionnel est malade, il ne l’est ni de ses personnels qui sont, pour la plupart, issus de l’entreprise ni de ses élèves qui font tout pour s’en sortir en se qualifiant pour un métier. Il est malade de ces jargonneurs professionnels qui ont créé des appellations de diplômes dont personne ne sait, du premier coup, de quel métier il s’agit. L’Éducation nationale pullule d’acronymes, du bac pro ASSP (métiers des soins et de l’hygiène) aux bacs pro AGOrA (métiers administratifs), de pseudo-dénominations pédagogiques, d’un « référentiel bondissant » (ballon) à un « outil scripteur » (crayon)… qui alimentent les sarcasmes des médias envers l’institution et éloignent plus encore les entreprises de l’Ecole.
Ah ça, ils époustouflent en charabie ! Au comble de l’absurde et de l’outrage, des recteurs et rectrices osent, comme en Languedoc-Roussillon, se moquer de ceux qui portent des créations de nouveaux diplômes (les fameux « métiers d’avenir » dont personne ne précise de quels métiers ils s’agit) comme, par exemple, la nécessaire création du diplôme de « conducteur de drones » quand on voit combien il est nécessaire dans le conflit ukrainien, que les forces de l’ordre le réclament, que les événements artistiques et sportifs le sollicitent autant que les entreprises de livraison. Même si nous y sommes habitués, cette condescendance envers l’enseignement professionnel et les métiers est devenue insupportable. Elle renvoie à la façon dont les employés de maison sont appelés par leur prénom quand ils doivent répondre par un « madame ». Ah… dure réalité et piètre bilan de décideurs chargés d’assurer à la société les fondements d’un avenir meilleur.
De colloques en conférences, de groupes de travail en circulaires indigestes pour n’importe quel quidam, sans mot dire, les entreprises ont compris qu’il ne servait plus à rien de perdre du temps avec ces spécialistes du vide ; elles montent leurs propres certifications et qualifications. Sur les cinq dernières années, France Compétences – le machin des progressistes qui assure un ronds de serviette pour services rendus ou services à rendre – comptabilise près de 20 000 certifications et qualifications inscrites au RNCP (registre national des certifications professionnelles). En somme 20 000 nouveaux diplômes créés à l’extérieur de l’Education Nationale quand l’École de la République, elle, n’en a créé… AUCUN !
Nos jeunes se sentent exclus d’un avenir rayonnant dans la startup nation, discriminés par une orientation dénigrée. Les familles voient bien qu’on ne réserve pas le meilleur pour leurs enfants quand d’autres ont les moyens de mettre leurs rejetons dans des écoles réputées pour leur classicisme cher à Hannah Arendt. Et c’est le lycée professionnel qui est accusé de produire du décrochage quand il n’en est que le réceptacle. Les professeurs de lycée professionnel déploient pourtant des trésors d’ingéniosité pour remédier au collège unique qui ne réussit pas à inculquer aux enfants, jusqu’à l’âge de 15 ans, les bases scolaires minimales. Accuser les lycées professionnels de produire du décrochage scolaire est un mensonge et une insulte quand nous n’y pouvons souvent plus grand chose : à 15 ans, c’est parfois déjà trop tard. Sans compter que ces jeunes des lycées professionnels cumulent des difficultés sociales (les élèves aux IPS les plus faibles sont systématiquement en lycées professionnels). Nous réussissons quand même et malgré des moyens de plus en plus indigents, à les mener à un diplôme, à une poursuite d’études et à une insertion dans la vie active. En cela, nous répondons encore, seuls, ancrés dans un quotidien que le jargonnage nie, à l’objectif de former la Femme, l’Homme, la Citoyenne, le Citoyen, la Travailleuse, le Travailleur. Nos responsables politiques devraient déjà commencer par nous féliciter si ce n’est nous consoler, avant de nous accabler de maux dont nous ne sommes nullement responsables.
L’ascenseur social est cassé et personne ne semble avoir la réelle volonté de donner à l’enseignement professionnel les moyens de contribuer à sa réparation…
Le pays manque cruellement de salariés qualifiés, d’assistants-ingénieurs, d’ingénieurs. La réindustrialisation ne sera possible que si des salariés sont prêts pour participer à la réussite de nos industries. Le voilà, le constat partagé à partir duquel une réforme doit être portée. Elle ne s’entendra qu’après un débat clair aux objectifs intelligibles : de quelle école le pays a besoin ? Les professeurs de lycée professionnel sont prêts à s’engager pour l’avenir de notre jeunesse et pour l’avenir de nos artisans, nos commerçants, notre industrie.
Mais rendons à César ce qui est à Jupiter : c’est le Président de la République qui a voulu mettre un coup de projecteur sans pareil sur l’enseignement professionnel pendant sa campagne électorale.
Alors tout cela pour cela ? Je pleure tout ce temps perdu qui hypothèque l’avenir de nos entreprises et désenchante nos jeunes.
Le Président de la République est notre dernier espoir. Pour que « le pied dans l’Ecole et le pied dans le travail » ne se transforme pas en pied dans la mouise et pied dans la tombe.
Saura t-il entendre la supplique des Professeurs de lycées professionnels et des chefs d’entreprise ?

Bonne lecture : N’hésitez pas à faire connaître notre édito.
Pensée du jour : « La confiance meurt mais la méfiance fleurit ». Sophocle

Adhésion 2023 : Téléchargez le bulletin d’adhésion ou du RIB du Snetaa-FO.
Nous joindre : mail, tél. : 79.91.42, WhatsApp, ou Facebook.

Avant-gout des prochains éditos :
La Revue Presse du 08 au 22 février 2023
Connaitre ses droits : maternité en Calédonie
ITR :  les députés d’outre-mer rouvrent le dossier
Réforme des retraites : les scénarii possibles
Georges Buisson : principal rédacteur de la « sécu »
Retraites : alternatives que l’exécutif refuse de voir
Retrouver nos précédents éditos 

Février 2023

Réforme de la voie proM. le Pdt de république
Réformes & dialogue social : qui va en tirer profit ?
 Réforme des retraites : un combat en 6 rounds
Usure professionnelle et pénibilité des métiers
Le PENC, qui va oser le sortir de son sarcophage ?
Mme Borne fait l’autruche sur la réforme des retraites
 Réforme des retraites que d’occasions ratées !
Tenue scolaire commune : c’est pas un tabou !
4ème round : c’est encore NON à la réforme
Jour J : les profs font leur prérentrée aujourd’hui
 La revue de presse du 1er au 8 février 2023
Manifestation devant le Haussariat : J-3
 3ème round : c’est toujours NON à la réforme
Retraites : le gouvernement doit retirer sa réforme
A lire : « Un empire bon marché » (Denis Cogneau)
Retraites : la guerre des mots est engagée Résultat d’images pour emoticone de euréka
 Enseignante attaquée par un requin bouledogue
Retraites : les femmes, grandes perdantes !
La revue de pressedu 25 janvier au 1er février 2023
Grèves :  appelle à accélérer le mouvement
Résultat d’images pour Icone le doigtMensuel du Snetaa-FO Janvier 2023

Janvier 2023

Voie pro : les pistes d’une réforme déjà écrite
Grèves du 31/01, le bras de fer continue ! 
Une réforme porteuse d’injustice sociale 
Retraite : mauvaise solution et faux problème
« Réduire la qualité de l’éducation … » (G. Anders)
 La revue de pressedu 18 au 25 janvier 2023
Communiqué : manifestations, c’est J-6
Retraites Macron : une réforme idéologique Résultat d’images pour emoticone de euréka
La retraite progressive ne sera pas un droit ! Afficher l’image source
Réforme des retraites : 22 mots pour comprendre Résultat d’images pour emoticone de euréka
 Bâti scolaire : un enjeu archi éducatif Résultat d’images pour emoticone de euréka
Journée de mobilisations : un jeudi porteur d’espoir
 La revue de pressedu 11 au 18 janvier 2023
Retraités des Outre-mer : une population très fragile
Malaise enseignant : ces profs qui restent malgré tout
Retraites : un regard sur les autres pays d’Europe Résultat d’images pour emoticone de euréka
 Grève générale du 19 janvier, à quoi s’attendre ? Résultat d’images pour emoticone de euréka
Communiqué : manifestations, c’est J-5 
Le front syndical uni : un fait rarissime Résultat d’images pour flash info
Il est temps de s’unir pour défendre les retraites Résultat d’images pour emoticone de euréka
La revue de pressedu 04 au 11 janvier 2023
 Communiqué : la mobilisation ne doit pas faiblir 
Réforme des retraites : la riposte syndicale s’organise
 Compte-rendu du CCE du 22 novembre 2022 Afficher l’image source
 Mouvement INTER : rentrée de septembre 2023
 AP601 : Spécial Réforme GrandjeanRésultat d’images pour flash info
 Rémunération : calendrier des traitements 2023 Afficher l’image source
 Salaire enseignant : polémique autour des +10% Résultat d’images pour emoticone de euréka
 La revue de pressedu 14 décembre au 04 janvier 2023
 Réforme des retraites : quid après 65 ans ? Résultat d’images pour emoticone de euréka
Borne reçoit les syndicats, mais pour quoi faire ?
 Vœux du Snetaa et de la FNEC-FP 

Décembre 2022

 Borne vante le dialogue social tout en le piétinant
Projet de statut des contractuels : analyse de
 Retraites : quelles sont les lignes rouges pour chacun ?
Comment l’ÉN va gérer la baisse démographique ?
Projet de réforme des retraites, c’est NON ! Résultat d’images pour emoticone de euréka
Maîtres auxiliaires, GT affectation rentrée 2023 Afficher l’image source
CDIsation des MA : réforme menée en catimini Afficher l’image source
 Laïcité : en Europe elle ne va pas de soi ! Résultat d’images pour emoticone de euréka
 RDV de carrière : faites respecter vos droits Afficher l’image source
 Déclassement dans le recrutement des profs Résultat d’images pour emoticone de euréka
La revue de pressedu 07 au 14 décembre 2022
FO : n°1 dans la fonction publique d’Etat Résultat d’images pour flash info
FO : forte progression dans le 1er degré  Résultat d’images pour flash info
CIMM : bilan des dossiers traitées en 2022  Résultat d’images pour emoticone de euréka
 MERCI à tous d’avoir voté
La FNEC-FP pose 9 questions claires au VR  Résultat d’images pour flash info
Edito Spécial : Elections Professionnelles dito Résultat d’images pour flash info
 La revue de pressedu 1er au 06 décembre 2022
Ca bug ! Ca agace. Je ne lâche pas : je vote
Enseigner l’histoire en LP = spirale infernale Résultat d’images pour emoticone de euréka
 SMIC : Oui à un coup de pouce au 1er janv. Résultat d’images pour emoticone de euréka
Les mathématiques, l’autre nerf de la guerre Résultat d’images pour flash info
La médecine préventive, c’est pas du luxe ! Afficher l’image source
La revue de presse du 23 au 30 novembre 2022
Apprentissage : embarrassantes reconversions Résultat d’images pour flash info

Novembre 2022

Résultat d’images pour Icone le doigtMensuel du Snetaa-FO Novembre 2022
Edito Spécial : Elections Professionnelles
Apprentissage : dérives d’une réforme open barRésultat d’images pour flash info
Grève Soenc-Fédé-Cogétra : la position de 
Intersyndicale : « vendredi noir » pour les PLP Résultat d’images pour flash info
De nombreux clichés entourent les lycéens pro  Résultat d’images pour emoticone de euréka
 La revue de presse du 16 au 23 novembre 2022
Les inégalités sociales se reproduisent à l’école Résultat d’images pour emoticone de euréka
Burn out : épuisement professionnel Résultat d’images pour flash info
CCE : PAF 2023 et calendrier 2024 Afficher l’image source
CLR : risque de cessation de paiement ? Résultat d’images pour emoticone de euréka
Communiqué : la mobilisation ne faiblit pas 
Infos pratiques : MAD-NC 2023 Afficher l’image source
Réforme : Protection Sociale Complémentaire Afficher l’image source
Défense des LP : forte mobilisation
La revue de presse du 8 au 16 novembre 2022
Territoriaux : revalorisation du point d’indice Résultat d’images pour emoticone de euréka
AP600 : Spécial Mutation 2023 Afficher l’image source
Mutation INTER 2023 : ouverture de SIAM Afficher l’image source
Enseignants : crise de recrutement  Résultat d’images pour emoticone de euréka
Laïcité : la circulaire Ndiaye est-elle à la hauteur ? Résultat d’images pour flash info
Dystopie : qu’est-ce que c’est ? Résultat d’images pour emoticone de euréka
Réforme du collège : ouvrir un débat de 50 ans Résultat d’images pour emoticone de euréka
Accros aux news … Faites la diète ! Résultat d’images pour flash info
Indemnité de résidence : affecté dans une COM ? Afficher l’image source
 La revue de presse du 26 octobre au 8 novembre 2022
USA : les républicains en croisade contre l’école Résultat d’images pour flash info
Brown-out : la perte de sens au travail Résultat d’images pour emoticone de euréka
CNR Education : une légende élyséenne  Résultat d’images pour emoticone de euréka
IFCR : vous changez de résidence ?  Afficher l’image source
Examens session 2022 – calendrier général Résultat d’images pour flash info
Maîtres Auxiliaires : les concours de PLP  Afficher l’image source
Mouvement INTRA : rentrée de février 2023 Afficher l’image source
Force ouvrière défend vos droits et revendique

Octobre 2022

 Résultat d’images pour Icone le doigtMensuel du Snetaa-FO Octobre 2022
 Cartographies des instances de dialogue Afficher l’image source
M. Bloch : quelle réforme de la voie pro ? Résultat d’images pour flash info
 La revue de presse du 19 au 26 octobre 2022
Listes électorales : résultats du tirage au sort
L’empathie : une qualité innée mais sélective Résultat d’images pour emoticone de euréka
Maîtres auxiliaires : bilan des promotions Afficher l’image source
LP Attiti : bilan du COPIL du 24 octobre Résultat d’images pour flash info
Maîtres Auxiliaires : bilan des promotions Afficher l’image source
 Projet : récréations surveillées par les profs Résultat d’images pour emoticone de euréka
Grève générale dans l’éducation
Innover relève de la recherche Résultat d’images pour emoticone de euréka
Communiqué de l’intersyndicale voie pro Afficher l’image source
La revue de presse du 12 au 19 octobre 2022
Mutations : mouvement inter 2023 Afficher l’image source
Maitres Auxiliaires : promouvables 2021-22 Afficher l’image source
Mettons un terme au silence de P. Ndiaye Résultat d’images pour emoticone de euréka
Lettre ouverte du SNETAA aux PLP Résultat d’images pour flash info
Très forte mobilisation pour défendre les LP 
AP n°599 : spécial grève
ORS : suivi des élèves en PFMP Résultat d’images pour emoticone de euréka
Ceux qui partent : « l’école est finie » Résultat d’images pour emoticone de euréka
Actes sexistes : la lutte est difficile Résultat d’images pour emoticone de euréka
 La revue de presse du 5 au 12 octobre 2022
Vie des idées : le devoir de vigilance Résultat d’images pour emoticone de euréka
Apprentissage ou voie pro ? Résultat d’images pour emoticone de euréka
Bruno Latour : penseur de la crise écologique  Résultat d’images pour emoticone de euréka
France : le poids des diplômes Résultat d’images pour emoticone de euréka
 Libertés syndicales méprisées par le MEN Résultat d’images pour emoticone de euréka
Vos droits : ORS et journée de solidarité Afficher l’image source
 La revue de presse du 28 septembre au 5 octobre 2022
LP Pétro Attiti : côté pile/face  Résultat d’images pour flash info
OCDE : nos salaires toujours à la traîne Résultat d’images pour emoticone de euréka
 LP Auguste Escoffier : côté pile/face Résultat d’images pour flash info
SEP du LPO du Mt Dore : côté pile/face  Résultat d’images pour flash info
Voie professionnelle : la force des atypiques Résultat d’images pour emoticone de euréka
Vos droits : la prime d’attractivité 2022 Afficher l’image source

Septembre 2022

Résultat d’images pour Icone le doigtMensuel du Snetaa-FO Septembre 2022

Aout 2022

Résultat d’images pour Icone le doigtMensuel du Snetaa-FO Aout 2022

Vous pouvez nous joindre par mail, téléphone, WhatsApp, Facebook.

Logo Snetaa Nouméa

 

snetaa.org

Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures. D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.

sortir le PENC de son sarcophage

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière.

sortir le PENC de son sarcophage

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

sortir le PENC de son sarcophage

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu.

ITR

Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

ITR

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

ITR

Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu.

M. le Pdt de république

Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

M. le Pdt de république

Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu.

M. le Pdt de république

Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

M. le Pdt de république

Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures.

M. le Pdt de république

Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

M. le Pdt de république

Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans une complète opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans une complète opacité.

M. le Pdt de république

Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.

M. le Pdt de république

Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.

M. le Pdt de république

Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.

M. le Pdt de république

Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on consulte le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans une complète opacité.

M. le Pdt de république

Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité

M. le Pdt de république

Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur assure la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité

https://www.snetaa.org/

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.