L’ENSEIGNEMENT PRO A BIEN ÉVOLUÉ
DEPUIS LA LOI GUIZOT (1833) !
MAIS IL POURRAIT CONNAITRE
UN GRAND BOND EN ARRIÈRE
Alors que la réforme du LP s’installe malgré l’opposition unanime des syndicats de la voie pro, pour mieux appréhender les enjeux de cette réforme, il nous a semblé utile de revenir sur l’histoire de cet enseignement initial : une histoire deux fois centenaire.
L’ENSEIGNEMENT PRO EST DEVENU «CAUSE NATIONALE»
DU PRÉSIDENT LORS DE SON PASSAGE À SAINTES EN MAI
Le LP suscite toutes les convoitises des politiques libérales. Sous prétexte de faire correspondre la carte des formations au marché de l’emploi, conception adéquationniste qui n’a jamais convaincu les chercheurs dont François Dubet, c’est maintenant Valérie Pécresse qui dans le «choc de décentralisation» qu’elle souhaite pour la région Ile-de France aimerait bien transformer les lycées pro en «établissements publics locaux d’enseignement régional sous pilotage de la région».
ÉTERNEL COMBAT ENTRE LIBÉRAUX ET RÉPUBLICAINS,
DEFENSEURS DE l’INSTRUCTION PUBLIQUE ET PATRONAT
La genèse des LP est une histoire qui s’inscrit sur près de deux siècles. Elle révèle les combats successifs de Républicains humanistes convaincus qu’apprendre un métier se faisait tant à l’atelier que sur les bancs de l’école.
En France, les première écoles techniques sont fondées au XVIIIe siècle par les communes, les ordres religieux, les compagnons et l’État. Mais c’est surtout au XIXème siècle qu’apparaissent réellement les premières structurations d’un enseignement technique, supervisées ou non par l’Etat.
Au début du XIXe siècle, s’il existe bien des grandes écoles de formation pour les ingénieurs (Conservatoire des Arts et métiers, École centrale des arts et manufactures…) ou pour le Commerce (École supérieure de commerce) chargées de former du personnel d’encadrement pour accompagner l’essor industriel, le système de formation de la main-d’œuvre est plutôt disparate. Il se développe selon des initiatives locales soutenues par des entreprises privées ou des collectivités territoriales et particulièrement en fonction des besoins locaux.
La loi Guizot du 28 juin 1833 est significative d’une volonté politique d’accompagner l’enseignement technique (pour le commerce et l’industrie) plus précocement dans le cursus scolaire. Elle prévoit l’ouverture d’une École primaire supérieure (E.P.S.) dans les chefs-lieux de département et les villes de plus de 6 000 habitants. En ce qui concerne les modèles d’éducation à l’apprentissage des métiers proposés au XIXe siècle, la typologie offerte par Stéphane Lembré dans son histoire de l’enseignement technique questionne « l’enjeu des ateliers dans l’apprentissage » selon quatre modèles distincts : « l’atelier dans l’école », instauré par les congrégations religieuses, dispense un enseignement général le matin et un enseignement technique l’après-midi ; «l’école dans l’usine», un enseignement de trois ans articulé à l’enseignement primaire particulièrement apprécié par le patronat ; «l’école par alternance», dans laquelle les enfants sont à l’école le matin puis chez un patron l’après-midi. « l’école d’apprentis» où les enseignements théoriques et pratiques sont dispensés dans les mêmes locaux. Autrement dit, les formations des apprentis questionnent tout autant la place des enseignements théoriques et pratiques, le lieu où ils sont délivrés, que leur légalité définie par les législations sur le travail des enfants. Dès cette première partie du XIXe siècle se dessinent déjà les axes autour desquels l’identité de l’enseignement professionnel va se déployer. Quels modèles de formation vont se développer ? Quelle place pour l’enseignement technique dans le développement du système éducatif français ?
La période des années 1880 à la Première Guerre mondiale se caractérise par le développement d’un réseau d’écoles techniques dans un contexte de mise en place de la République qui va généraliser la scolarisation. La loi du 11 décembre 1880 vise à offrir un cadre législatif unifié pour des écoles à créer ou déjà existantes. Elle permet l’ouverture des Écoles nationales professionnelles (la première à Vierzon en 1883, Écoles des métiers d’arts Boulle et Estienne ouvertes à Paris en 1886 et 1887…) qui serviront de modèle aux futures Écoles manuelles d’apprentissage (EMA). En 1892 l’enseignement technique est placé sous le seul contrôle du ministère du Commerce, et commence à se développer. Les 12 Écoles primaires supérieures sont alors rebaptisées École pratique de commerce et d’industrie (EPCI). En 1895, le ministère du Commerce met en place la Direction de l’enseignement technique (DET), première administration française en charge de la formation. Cependant, les débats autour du contenu et du lieu des formations des ouvriers ne cessent pas. Ils opposent les membres de l’Association française pour le développement de l’enseignement technique (AFDET), constituée en 1902 autour du ministère du Commerce) qui prônent le transfert de toutes les formations techniques au ministère du Commerce, aux défenseurs de l’instruction publique (constitués en 1900 autour du ministère de l’Instruction publique par l’Association amicale des fonctionnaires des E.P.S.) qui souhaitent un enseignement professionnel davantage encadré par l’enseignement général en privilégiant des sections professionnelles dans les Écoles primaires supérieures et en renforçant des cours complémentaires. Ainsi à la veille de la Première Guerre mondiale, l’enseignement technique, principalement encadré par le ministère du Commerce dans les EPCI, reste l’objet des attentions républicaines qui souhaitent le voir se développer au sein des Écoles primaires supérieures.
Les rivalités entre l’AFDET et les défenseurs de l’instruction publique à propos de la place et du contenu des formations de l’enseignement technique tendent à prendre fin avec la Loi Astier (nom du président de la Commission parlementaire du commerce et de l’industrie en 1905) votée en juillet 1919. Puis le transfert des différentes écoles professionnelles au sous-secrétariat de la DET devenue Direction Générale de l’enseignement technique du ministère de l’Instruction publique. Edmond Labbé et Hyppolyte Luc en seront les deux directeurs généraux en 1920 et 1933. Ces deux hommes ont d’une certaine manière contribué à forger une identité spécifique aux enseignements professionnels qu’ils voulaient centralisés dans un ministère de l’instruction publique et non limités à de simples formations techniques qui répondaient aux besoins de l’industrie et du commerce. Dans un rapport à l’inspection générale de l’enseignement technique, Edmond Labbé explique dès 1912 que l’enseignement professionnel doit autant former des ouvriers que des électeurs éclairés et des citoyens. En 1926, cette conception est réaffirmée par Edouard Herriot, alors ministre de l’instruction publique qui affirme dans une circulaire au personnel de l’enseignement technique «Vous n’oublierez pas non plus que vous êtes des éducateurs et qu’en formant des producteurs, vous devez former des citoyens et des hommes». Former l’homme, le citoyen, le travailleur sera d’ailleurs un axe important du plan Langevin-Wallon d’après-guerre, et une conception qui sera maintenue dans les diverses formes institutionnelles de l’enseignement professionnel. On doit en effet à Hyppolite Luc, resté à la direction de l’enseignement technique sous le régime de vichy d’avoir renforcé le pouvoir de la DET et œuvré à l’unification de l’enseignement technique. Ainsi, entre 1941 et 1944, tous les centres de formation professionnelle sont rattachés à la DET , les ENP deviennent des lycées techniques, les EPCI sont transformés en collèges techniques et les écoles primaires supérieures évoluent en collèges modernes. À la libération la filière de l’enseignement technique se verra officiellement administrée par le Conseil supérieur de l’enseignement technique, rattaché au Conseil supérieur de l’enseignement public. Les Centres d’apprentissage vont être renforcés et dotés d’Écoles normales nationales d’apprentissage (ENNA) chargées de former les maîtres d’atelier ainsi que les maîtres d’enseignement général.
La suite de l’histoire de l’enseignement professionnel est plus connue. La réforme Berthoin de 1959 vise à une unification du système éducatif et fixe un système d’orientation distribué en cinq paliers. L’enseignement technique court est alors dispensé dans des Collèges d’enseignement technique (CET) devenus des lycées d’enseignement professionnel (LEP) en 1976. En novembre 1985, la rénovation de la voie professionnelle aboutit à la création du baccalauréat professionnel et transforme les LEP en lycée professionnel (LP) dans le but de leur conférer une «égale dignité» avec les lycées classiques et technologiques.
Depuis 2022, il semble que l’histoire des LP fasse un grand bond en arrière. En juillet, les LP ne sont plus exclusivement administrés par l’éducation nationale, et sont placés sous la tutelle de Carole Grandjean, ministre déléguée auprès du ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion et du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, chargée de l’Enseignement et de la Formation professionnels. Voilà donc les LP sortis du giron exclusif de l’Éducation nationale. Plus récemment, en demandant un élargissement des compétences régionales en matière d’éducation. C’est à dire, au temps des formations professionnelles disparates et durant lequel on se questionnait sur les visées de l’enseignement professionnel à des fins seulement utilitaristes.
© Force Ouvrière — novembre 2023
Bonne lecture : Vous aimez notre édito, n’hésitez pas à la partager autour de vous. Vous pouvez aussi nous faire un retour ou une suggestion à cette adresse
Pensée du jour : « Personne n’est plus détesté que celui qui dit la vérité » Platon
Adhésion 2023 : Téléchargez un bulletin ou un RIB
Nous joindre : mail du Snetaa, tél. : 79.91.42 ou WhatsApp
Avant-gout des prochains éditos :
Mensuel du Snetaa-FO – Novembre 2023
Vacances scolaires : la fin des 3 zones à l’étude
Vie des idées : combattre « l’héritocratie »
Laïcité : il faut vite la remettre au centre du village
Retrouver nos précédents éditos
L’enseignement pro : a évolué depuis la loi Guizot
Intersyndicale voie pro : appel à la grève le 12/12
Classe exceptionnelle : fin de l’échelon spécial
Mouvement INTER 2024 : week-end mutations
Désinformation : il faut muscler notre cerveau !
Réunion du 22/11 : bilan de l’audience avec le VR
Écoles Normales : va-t-on assister à leur retour ?
Handicap & école & établissement médico social
Élèves de quatrième : leur niveau pose problème !
Traits culturels : pourquoi les prendre en compte ?
Sécurité incendie : plusieurs EPENC non conformes
SNETAA FO : communiqué intersyndicale voie pro
Promotion des MA : bilan de campagne 2022-2023
Communiqué FO : l’ITR renait-elle de ses cendres ?
ITR gelée : une demi-victoire du député P. Dunoyer
Pacte enseignant : note de service du Vice-recteur
Pacte PLP : questions adressées dans les EPENC
L’ascenseur social est vraiment en panne en France
Voie pro en NC : ce qui doit changer en février 2024
Communiqué : Carole Grandjean enrobe sa réforme
Mouvement INTRA 2024 : résultats des opérations
Les classes laborieuses seraient-elles profiteuses ?
École inclusive : une mise en oeuvre souvent difficile
Vacances scolaires 2024 en Nouvelle-Calédonie
AP607 : AP magazine spécial mutations inter 2024
Élève radicalisé : réponse sécuritaire ou éducative ?
Formation continue organisée hors temps scolaire
Réforme de la voie pro à venir : une réforme hors-sol
Mensuel du Snetaa-FO – Octobre 2023
Je n’avais de tort que celui d’avoir fait mon devoir
Les PFMP sont un véritable temps de formation
Pacte calédonien : rencontre avec le Vice-recteur
Voie pro : une réforme menée à « coups de burin »
Rassemblés à Nouméa en mémoire de D. Bernard
Une minute de silence en hommage à D. Bernard
Bac pro : « … construire une terminale sur mesure »
École : il faut s’inspirer de ce qui marche ailleurs !
École : peut-on encore ignorer certaines réalités ?
Communiqué : NON au bac pro en 2,5 ans !
Les MA calédoniens méconnaissent leurs droits
La retraite progressive : comment ça marche ?
Agirc-Arrco : FO a signé le protocole d’accord
Attal : relever le niveau en supprimant des postes
GT harcèlement : la FNEC-FO a claqué la porte
Islamisme : un professeur égorgé vendredi à Arras
AP606 : quand apprentissage rime avec gaspillage
Usure professionnelle : les ouvriers racontent
Communiqué : Carole Grandjean persiste et signe
JP Obin : « quand les profs ont peur, ils se taisent »
Polynésie : fin des avantages des agents détachés
Calédonie : championne de la vie chère outre-mer
Pyramide des âges des personnels enseignants
Arrêt maladie : comment calculer ses droits ?
Communiqué : Carole Grandjean reçoit le SNETAA
Aujourd’hui, journée mondiale des enseignants
L’exemplarité : un « devoir » aux contours assez flous
Vos droits : consulter son dossier administratif
Vie pratique : concours pour devenir enseignant
Scolarités : le poids des héritages socio-culturels
Mensuel du Snetaa-FO – Septembre 2023
Début de carrière : écarts de revenu entre FPE et FPT
Éducation nationale et éducation « positive »
Vie des idées : la laïcité est un espace-temps
Gabriel Attal promeut « Le choc des savoirs »
Formation des enseignants : comment la rénover ?
Éducation prioritaire : le VR/DGE propose 3 trois CLA
Vie des idées : « mens » &« anima » sana in corpore sano
Éducation : il manque des enseignants partout
L’OCDE a publié son rapport annuel sur l’éducation
Interruption de MAD : cette décision n’est pas neutre
SNETAA : le LP n’est pas responsable du décrochage
MAD 2024 : disciplines mises au mouvement EXTRA
Propagande de rentrée : que faire des flyers du MEN ?
Laïcité : que vient de nous rappeler le Conseil d’État ?
BOEN : décryptage des éléments de langage du MEN
La cour des C. étrille les rémunérations en Outre-Mer
Vos droits : spécial agression d’un(e) enseignant(e)
Mesures de carte scolaire : quels sont sont vos droits ?
Dérives sectaires : la prévention en milieu scolaire
Nouveautés : accès à la classe exceptionnelle
Éducation : le domaine réservé du Président Macron
MAD-NC et mut INTRA 2024 : quel est votre barème ?
Comment le président et le MEN ont gâché la rentrée
Pourquoi septembre sonne le glas des vacances ?
Droits : les critères relatifs au transfert du CIMM
Rémunération : grilles réactualisées au 1er septembre
Lycée professionnel : Macron en visite à Orange
AP – Édition Spéciale : guide de rentrée 2023-2024
Annonces de rentrée : quoi de neuf au 1er septembre ?
Vous pouvez nous joindre par mail, téléphone, WhatsApp, Facebook.
grève le 12/12
Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on consulte le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans une complète opacité. Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur assure la sécurité et protéger la santé des personnels
grève le 12/12
Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on consulte le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans une complète opacité. Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur assure la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité
grève le 12/12
Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
grève le 12/12
Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu. Enfin, sur les opérations de mutation je constate une chute des candidatures. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans l’opacité. Enfin, je consulte le compte-rendu.
depuis la loi Guizot
Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on consulte le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures se fait dans une complète opacité. Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur assure la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité