L’école est devenue un musée

Echec scolaire : le système éducatif est

plein de règles et de schémas limitants.


L’école développe des compétences souvent peu utiles.

Le système éducatif actuel est à plus d’un titre « une relique obsolète, pleine de règles et de schémas nuisibles et limitants« . Il est grand temps de reconnaitre que l’école peut faire mal et pourquoi cela arrive.
Pour Jean-Paul Brighelli, ce système forme des « crétins« . En effet, nombreux sont ceux qui ne savent ni lire, ni compter, ni penser. Ainsi, le système scolaire français, qui était jadis l’un des meilleurs au monde, est devenu une vaste machine à produire des crétins, loin du pacte républicain, de l’égalité des chances, de l’ascenseur social et de la transmission de l’esprit critique.
L’école est un musée, qui, non seulement assure peu l’acquisition des compétences pour faire face à la réalité, mais, qui développe des compétences assez peu utiles dans le monde réel. Certes, il est vrai que c’est moins souvent le cas dans la voie professionnelle. Du moins, tant que les référentiels des diplômes nationaux ne seront pas écrits au Ministère du travail.
Cet édito se concentre uniquement sur les aspects néfastes du système. Cela ne signifie pas qu’il est totalement mauvais. En effet, il y a beaucoup d’aspects positifs sur le chemin d’évolution des élèves aujourd’hui. Malgré cela, les nombreux défauts du système et son importance fait que l’ensemble du système éducatif est adapté pour aller à la poubelle. Le but de cet édito est, justement, de tenter de mieux comprendre l’essence du problème.
La critique d’un système n’est pas celle des personnes qui travaillent dans ce système. Le fait est que beaucoup d’enseignants gagnent peu et que rarement ils apprennent comment apprendre aux élèves et comment se comporter avec eux, surtout ceux qui sont en difficultés. Il s’agit d’une erreur du système, pas de ses employés. Bien sûr, il existe des enseignants qui ont conscience des erreurs du système et tentent de les minimiser, voire de réparer ce qui est dans leur champ d’action. Mais c’est l’arbre qui cache la forêt.

Pour apprendre il est souhaitable de faire des erreurs

Pourtant l’hypothèse contraire est le pilier du système d’éducation actuel. Elle imprègne chaque cellule de sa surface avec sa présence dans la vie quotidienne de toute école. Dès la première primaire, les enfants sont victimes d’une politique de la peur, où les enseignants traitent des erreurs comme le signe d’être « moins bon élève ».
Cette façon de penser détruit la créativité des enfants et bâtit chez eux une forte sensation de peur avant d’agir et d’expérimenter. C’est la raison du stress et du trac avant les examens ou une quelconque épreuve future. Dans la plupart des cas, cela forge à tout jamais la psyché humaine.
Faire des erreurs fait partie intégrante et est nécessaire à l’apprentissage. Chaque être humain devrait être prêt et même s’intéresser aux fameux « échecs ». C’est le meilleur moyen d’apprendre vite en se basant sur sa propre expérience … plutôt que sur une théorie vidée de sens.

Il existe rarement une bonne réponse à chaque question

L’hypothèse contraire est profondément enracinée dans le système éducatif : il ne peut exister qu’une bonne réponse à chaque question. L’obéissance à ce dogme est exigée à chaque pas sur le chemin de l’éducation. Ce schéma de pensée oppressant et limitant peut se résumer ainsi : « rentre dans le moule ou cesse d’exister. »
Le meilleur exemple sont les examens où l’apprenant doit parfaitement entrer dans une case qui spécifie laquelle de ses interprétations est exacte, et laquelle ne l’est pas. Toute autre idée ou réponse pleine de créativité fait, de facto, l’objet de critique par des professeurs qui se trouvent figés depuis de nombreuses années dans ces schémas trop souvent stricts et rigides.
Les apprenants sont obligés de donner uniquement les réponses « correctes » – on les force à avoir cet état d’esprit prédéterminé par des cases.
Or les jeunes avec une personnalité différente, qui brisent ce strict schéma, deviennent de mauvais individus et sont traités avec mépris.  Cette approche handicape la créativité et la recherche des solutions originales. Elle tue ainsi l’innovation et la capacité à résoudre des problèmes quotidiens.

L’obsession de l’évaluation des connaissances et des comportements

Dès l’école primaire les élèves s’arrachent les places à répondre. Ils ont tellement envie de se vanter de leurs connaissances, même s’ils ne sont pas certains de cette connaissance. Plus la classe est « âgée », moins il y a de mains levées. Les jeunes savent que chaque mauvaise réponse sera aisément critiquée par le prof, donc pas la peine de prendre le risque de se faire juger.
Les jeunes apprennent très vite que leur but principal est d’obtenir de bonnes notes, appréciations, couleurs… Au lieu d’apprendre et découvrir le monde, ils rivalisent avec leurs camarades, font de la compétition, et sur base de leurs résultats se comparent entre eux. Ceux qui obtiennent des notes moins bonnes … se sentent rabaissés, méprisés.

Bonne lecture.
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Pensée du jour : « L’école prépare les enfants à vivre dans un monde qui n’existe pas », a dit un jour Albert Camus.

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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.

D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.

L’école est devenu un musée

Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

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Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures. Par ailleurs,  les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.

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Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité

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