L’heure est au dialogue
avant le troisième référendum
Nouvelle-Calédonie : pour Marlène Schiappa, “l’heure est au dialogue” avant le troisième référendum sur la souveraineté.
Le prochain référendum sur la pleine souveraineté du Caillou doit se tenir avant le 22 octobre 2021. Lors de la session de questions au gouvernement de ce mardi 11 mai, la ministre en charge de la Citoyenneté a assuré vouloir maintenir le dialogue avec les acteurs politiques de Nouvelle-Calédonie.
En l’absence du ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu, en visite officielle en Polynésie depuis plusieurs jours, c’est la ministre en charge de la Citoyenneté, Marlène Schiappa, qui a répondu au député Benoit Simian. Invoquant toutes les initiatives du gouvernement pour prendre le pouls de la population calédonienne en vue du prochain référendum, la ministre a affirmé œuvrer au côté de “toutes les formations politiques locales” pour bâtir “l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie”. “Nous avons demandé au Haut-commissaire de lancer une consultation avec la société civile, un travail sur les conséquences d’un oui ou d’un non va être réalisé et présenté aux responsables politiques calédoniens et au Parlement à l’occasion de la semaine calédonienne”, a fait savoir Marlène Schiappa.
Alors qu’une délégation de responsables politiques du Caillou est attendue mi-mai à Matignon pour rencontrer le Premier ministre Jean Castex, la ministre a affirmé que “plus que jamais, l’heure est au dialogue avec tous les acteurs” et martelle que le gouvernement ne “renoncera pas à ce dialogue”. “L’avenir de la Nouvelle-Calédonie nous importe, à toutes et à tous. Il appartient aux Calédoniens de déterminer leur avenir, mais il nous appartient collectivement de dresser les enjeux et les conséquences de chaque choix, en transparence et en conscience”, a indiqué Marlène Schiappa.
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Publié le 11 mai 2021 à 18h45
Consultation citoyenne restituée à Nouméa
Souhaitée par le Ministre des Outre-mer, la « démarche d’écoute profonde » conduite à travers plus de 2.200 interviews laisse apparaître les grandes lignes de fracture de la société calédonienne, et des attentes qui vont au-delà des questions institutionnelles. Les données tirées des contributions des corps intermédiaires, et des enquêtes réalisées par deux instituts de sondage, alimenteront le débat dans la société civile et sur la scène politique. Elles permettent de mieux comprendre quel avenir veulent les habitants de Calédonie.
Au vu du processus institutionnel en cours, le ministère des Outre-mer voulait appréhender les craintes et les questionnements des Calédoniens sur différentes thématiques.
- Des Calédoniens « plutôt inquiets »
- Les grands blocs se distinguent
- Un vivre-ensemble encore à construire
- Des inégalités ressenties et reliées
- Culture kanak : deux perceptions
- Culture kanak : deux perceptions
- Pour un geste qui referme la période coloniale
- La délicate question de la revendication foncière
- La présence de la France serait souhaitée quoi qu’il arrive
- 58% des répondants se sentent citoyens français
- Un lien à la France « indispensable » pour 53% des répondants
- La France attendue au lendemain du dernier référendum
- Des Calédoniens plutôt prêts à accepter le résultat du scrutin
- La double nationalité plébiscitée
- Pessimisme en cas de « Oui »
- Une vision différente pour les étudiants
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Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite pour la première fois dans l’opacité. Enfin, sur l’ensemble des opérations de mutation on constate une chute des candidatures.
Nomenclature
D’ailleurs, cela représente une centaine de demandes de moins que l’an dernier. Tout d’abord, le phénomène s’explique par la crise sanitaire. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP sont dessaisies de toutes les opérations de carrière.
Nomenclature
Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par ailleurs, les CAP ne gèrent plus les opérations de carrière. Enfin, on peut consulter le compte-rendu. Par contre, le Vice-recteur ne déroge à la LTFP. Par ailleurs, la sélection des candidatures est faite dans une complète opacité.
Nomenclature
Enfin, sur les opérations de mutation nous constatons une chute des candidatures.
Nomenclature
Tout d’abord, le premier droit des personnels est le respect par l’employeur de ses obligations réglementaires ! En effet, tout employeur doit assurer la sécurité et protéger la santé des personnels sous sa responsabilité.