Agir pour ne plus subir

COVID-19 en milieu scolaire :

prévenir et agir pour ne plus subir !

Jean-Michel BLANQUER persiste et signe : « en milieu scolaire, la situation est maîtrisée et l’essentiel est de tenir les calendriers ».

Face au risque de variants plus contagieux, est-ce responsable ?

Le système scolaire est fortement impacté.

Mais le ministre de l’éducation fait l’autruche !

Les chiffres communiqués par le ministère, chaque vendredi, sont systématiquement sous-évalués, avec un rapport de 1 à 3 avec ceux de Santé Publique France (SFF), pour les mêmes tranches d’âge et périodes. Ces données dessinent clairement une tendance haussière du covid, comme pour le reste de la société.

Plus problématique, la tranche des 0-14 ans est celle qui connaît la plus forte hausse, la plus forte positivité, tout en étant toujours une catégorie largement sous-testée (rapport SPF du 28/01).

Contrairement aux déclarations de JMB, le système scolaire est fortement impacté !

Nous déplorons le changement, depuis octobre, de la définition des « cas contacts » qui impose une omerta sur la circulation épidémique en milieu scolaire. La politique « tester-tracer-isoler », supposée au cœur de la stratégie gouvernementale, perd toute sa pertinence en milieu scolaire ! […]

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Le système scolaire brasse et connecte chaque jour plusieurs millions de personnes. On ne peut faire l’économie de mesures sanitaires strictes pour empêcher le virus d’y circuler !

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Trop d’infos tue l’infos !

Les messages du MEN sont inaudibles.

Non, M. Blanquer ! Il ne suffit pas de répéter des mesures en boucle pour qu’elles soient efficientes ! Nous ne comptons plus les annonces de « renforcement du protocole » par le MEN, mais celle-ci sont le plus souvent à la marge. Pas toujours contraignantes ni lisibles, mises en place selon une géométrie variable dans les établissements.

Elles se heurtent à la réalité : le manque d’investissement dans des moyens matériels et humains pour maîtriser l’épidémie.

  • Tout d’abord, comment mieux gérer le temps de cantine, point faible notoire, alors que nombre de collectivités font déjà face à des problèmes chroniques de personnels ?
  • Par ailleurs, comment effectuer les mesures de CO2 préconisées quand aucune dotation ou crédits ne sont prévus pour disposer de l’appareillage nécessaire ?
  • Enfin, comment respecter les règles d’hygiènes nécessaires quand les bâtiments sont vétustes et attendent désespérément une rénovation ? …

Pour répondre à ces interrogations, le MEN doit fournir une dotation d’urgence (masques pour tous, capteurs CO2…). Mais, il doit aussi lancer un plan d’investissement.

La politique de tests massifs en milieu scolaire rencontre le même problème.

Annoncée trois fois depuis novembre, c’est toujours un fiasco sur le terrain. Ils sont indispensables mais ne peuvent reposer sur les seuls personnels médico-sociaux, en nombre insuffisant (moins de 1.000 médecins scolaires et moins de 8.000 infirmières). Ils sont déjà submergés par leurs missions quotidiennes et le « contact tracing ». Il est nécessaire de réorienter les tests vers le dépistage des « cas contacts » avec coordination et renfort des collectivités et autorités de santé. Le recrutement de personnels médico-sociaux est urgent. […]

Agir pour ne plus subir

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Pascal Vivier, secrétaire général du SNETAA-FO s’exprime sur le contexte sanitaire et les difficultés rencontrées par les professeurs de lycées professionnels et leurs élèves.

 

 

A cet égard, il est bon de rappeler que la laïcité n’est pas une opinion ; c’est la liberté d’en avoir une. C’est une volonté politique rassurante qui doit se traduire en actes. De facto, le pronostic et la thérapeutique mis en œuvre par les institutions n’ont pas été à la hauteur du problème posé. Oui, l’indigénisme radical occupe le terrain perdu par la République. A cet égard, il est bon de rappeler que la laïcité n’est pas une opinion ; c’est la liberté d’en avoir une. C’est une volonté politique rassurante qui doit se traduire en actes. De facto, le pronostic et la thérapeutique mis en œuvre par les institutions n’ont pas été à la hauteur du problème posé. Oui, l’indigénisme radical occupe le terrain perdu par la République.

es erreurs à éviter quand on est affecté en NC !

Par ailleurs, le VR fait la sélection dans l’opacité. Enfin, le nombre de candidats diminue. De fait, le nombre de demandes chute. Tout d’abord, la crise explique ce phénomène. Par contre, le Vice-recteur ne veut pas déroger à la LTFP. Enfin, le VR fait la sélection dans l’opacité. Par ailleurs, l’opacité de la sélection est la règle. Enfin, le nombre de candidats diminue. De fait, le nombre de demandes chute. Tout d’abord, la crise explique ce fait. Par contre, le Vice-recteur ne veut pas déroger à la LTFP. Enfin, le VR fait la sélection dans l’opacité. https://snetaa.org/

 

Au-delà de votre bien-être, les conditions de votre séjour et votre mode de vie auront un impact direct sur vos relations interpersonnelles. Vivre à la calédonienne c’est accepter d’apprendre et de respecter de nombreux codes, tout en étant conscients d’être perçu par son entourage parfois comme un Joinville ou un cinq-cinq, et le plus souvent, comme un expat, un non-calédonien. Une différence qui essentialise.

 

One thought on “Agir pour ne plus subir

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